Generate Your Own War Images with AI
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The War We Lost IIIe
Created 2 years ago · 10 comments· 0 likes
SDXL 1.0
Mini Nouvelle en commentaire : « Mon père me disait de ne pas repousser la peur mais de faire avec. Il me disait ça quand nous allions à la chasse, dans ces forêts sombres et profondes qui me terrifiaient, surtout à l’automne. Il ne m’a jamais caché qu’il aurait voulu avoir un fils et qu’il l’aurait appelé Sandro. Je suis une fille, alors il m’a appelé Cassandra et des fois il disait juste « Sandra » et d’autres fois il se trompait et il disait « Sandro ». Il ne m’a pas seulement appris à « faire avec la peur ». Il m’a aussi appris à me servir d’une arme à feu, l’entretenir, tirer sur un animal, chasser, suivre des traces… J’aimais beaucoup mon père et il m’aimait comme son fils. Je crois.
Woman Observes Burning City with Roses
A striking picture of a red-haired woman overlooking a burning city during a war. The scene includes red and white roses, rendered with hyperrealistic details and dramatic lighting.
Created by Julien on Jan 3, 2024 using the SDXL 1.0 AI image generator model.
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Creation Settings
- Text Prompts
- A long red-haired woman in combat suit looks at the end of the world: a city on fire that is collapsing. A war. There are red and white roses. Melodramatic. TragicWeight: 2Hyperrealistic, splash art, concept art, mid shot, intricately detailed, color depth, dramatic, 2/3 face angle, side light, colorful backgroundWeight: 1.4
- Model
CKPT- Initial Resolution
Medium
- Aspect Ratio
1:1
- Runtime
Long
- Overall Prompt Weight
75%
- Refiner Weight
40%
- Noise Weight
55%
- Sampling method
K_DPMPP_2M
Part 1 : « Mon père me disait de ne pas repousser la peur mais de faire avec. Il me disait ça quand nous allions à la chasse, dans ces forêts sombres et profondes qui me terrifiaient, surtout à l’automne. Il ne m’a jamais caché qu’il aurait voulu avoir un fils et qu’il l’aurait appelé Sandro. Je suis une fille, alors il m’a appelé Cassandra et des fois il disait juste « Sandra » et d’autres fois il se trompait et il disait « Sandro ». Il ne m’a pas seulement appris à « faire avec la peur ». Il m’a aussi appris à me servir d’une arme à feu, l’entretenir, tirer sur un animal, chasser, suivre des traces… J’aimais beaucoup mon père et il m’aimait comme son fils. Je crois.